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Gestion active vs gestion passive en Suisse

Guide complet pour optimiser votre stratégie d'investissement

Comprendre les fondamentaux de la gestion active et passive sur le marché suisse

La gestion de patrimoine en Suisse s'articule principalement autour de deux approches fondamentales : la gestion active et la gestion passive. Ces stratégies d'investissement représentent deux philosophies distinctes qui influencent significativement les rendements, les coûts et la gestion des risques pour les investisseurs.

La gestion passive consiste essentiellement à répliquer la performance d'un indice de référence comme le Swiss Market Index (SMI) ou le Swiss Performance Index (SPI). Cette approche part du principe que les marchés sont globalement efficients et qu'il est difficile de les surperformer consistamment sur le long terme. En pratique, l'investisseur acquiert des instruments financiers comme des ETF (Exchange Traded Funds) ou des fonds indiciels qui répliquent fidèlement la composition et les performances de l'indice choisi.

Caractéristique Gestion Passive Gestion Active
Objectif principal Répliquer la performance d'un indice Surperformer le marché/l'indice de référence
Frais moyens (Suisse) 0,10% - 0,30% par an 1,0% - 1,5% par an
Rotation du portefeuille Faible Élevée

À l'opposé, la gestion active repose sur l'expertise de gestionnaires professionnels qui sélectionnent méticuleusement les titres et ajustent stratégiquement l'allocation d'actifs en fonction des analyses macroéconomiques, géopolitiques et des perspectives sectorielles. L'objectif explicite est de générer une surperformance (alpha) par rapport à l'indice de référence. Cette ambition se traduit par des frais de gestion plus élevés, justifiés par le travail d'analyse et de décision tactique permanent.

Pour l'investisseur suisse, le choix entre ces deux approches dépend de plusieurs facteurs :

  • Tolérance au risque : La gestion active peut potentiellement offrir une meilleure protection en période de forte volatilité mais comporte un risque de sous-performance
  • Horizon d'investissement : Plus l'horizon est long, plus la gestion passive tend statistiquement à s'avérer avantageuse
  • Convictions personnelles : Certains investisseurs valorisent l'intervention humaine et l'adaptabilité de la gestion active
  • Sensibilité aux frais : L'écart significatif de frais entre les deux approches (facteur de 5 à 10) peut considérablement affecter les rendements composés à long terme

Les données historiques en Suisse montrent qu'environ 80% des fonds actifs ne parviennent pas à surperformer leurs indices de référence sur des périodes de 10 ans, principalement en raison du handicap des frais plus élevés. Cependant, cette statistique signifie également que 20% des gestionnaires actifs créent effectivement de la valeur pour leurs clients, ce qui maintient l'attrait de cette approche pour certains segments de marché ou classes d'actifs spécifiques.

Analyse comparative des performances et coûts sur le marché suisse

Pour l'investisseur suisse, la compréhension précise des différentiels de performance et de coûts entre gestion active et passive est fondamentale. Une analyse approfondie du marché helvétique révèle des tendances significatives qui méritent attention.

Sur le marché suisse des actions, les données des dix dernières années montrent un écart révélateur : si le SPI (Swiss Performance Index) a généré un rendement annualisé moyen de 8,6%, seulement 24% des fonds actifs investis sur le marché suisse ont réussi à faire mieux sur cette période. Cet écart s'explique en grande partie par l'impact cumulé des frais de gestion qui agissent comme un handicap permanent pour les gestionnaires actifs.

La structure de coûts constitue un élément déterminant dans cette comparaison. En Suisse, les frais totaux pour un investisseur se décomposent typiquement ainsi :

  1. Total Expense Ratio (TER) : Pour les ETF suisses, il s'établit généralement entre 0,10% et 0,30%, contre 1,0% à 1,5% pour les fonds actifs.
  2. Frais de transaction : La rotation plus importante des portefeuilles actifs génère des coûts supplémentaires estimés entre 0,2% et 0,5% annuellement.
  3. Écart de cours (spread) : Généralement plus faible pour les ETF liquides sur indices principaux.
  4. Frais initiaux ou de sortie : Souvent absents des ETF mais pouvant atteindre jusqu'à 3% pour certains fonds actifs.

L'impact à long terme de ces différentiels de coûts est considérable : un investissement de 100 000 CHF sur 30 ans, avec un rendement brut identique de 7%, aboutirait à un capital de 761 226 CHF avec des frais de 0,2% (approche passive), contre seulement 574 349 CHF avec des frais de 1,5% (approche active). Cette différence de près de 190 000 CHF représente une réduction de patrimoine final d'environ 25%.

Cependant, il est important de nuancer cette comparaison par secteur d'investissement. Si la gestion passive semble généralement plus performante sur les marchés développés et efficients comme le marché suisse des grandes capitalisations, l'équation peut s'inverser pour :

  • Les petites et moyennes capitalisations suisses, où les inefficiences de marché créent des opportunités pour les gestionnaires actifs
  • Les marchés obligataires, particulièrement dans les segments du haut rendement ou de la dette des marchés émergents
  • Les marchés actions émergents, où l'asymétrie d'information peut être exploitée par des gestionnaires expérimentés

Les données de la FINMA et de l'Association Suisse des Banquiers révèlent également une tendance intéressante : pendant les périodes de forte volatilité, comme durant la crise du COVID-19 en 2020, certains fonds actifs ont démontré leur capacité à limiter les pertes (meilleure préservation du capital) par rapport à leurs homologues passifs. Cette caractéristique explique pourquoi de nombreux investisseurs suisses adoptent une approche hybride, combinant un cœur de portefeuille passif avec des satellites actifs sur des segments spécifiques.

Pour illustrer concrètement cette comparaison, examinons les performances moyennes des fonds actifs et des ETF sur le marché suisse :

Catégorie Performance annualisée
(5 ans)
Volatilité Ratio de Sharpe
ETF SPI 7,9% 12,1% 0,65
Fonds actifs actions suisses (médiane) 6,8% 12,3% 0,55
Top quartile fonds actifs actions suisses 8,5% 11,8% 0,72

Implications fiscales pour les investisseurs suisses

La dimension fiscale représente un aspect souvent sous-estimé mais déterminant dans le choix entre gestion active et passive pour les investisseurs suisses. Le système fiscal helvétique présente des particularités qui peuvent significativement influencer les rendements nets réels selon la stratégie d'investissement adoptée.

En Suisse, les principes fiscaux fondamentaux applicables aux investissements sont les suivants :

  • Exonération des gains en capital privés : Les plus-values réalisées sur des actifs détenus dans le cadre du patrimoine privé ne sont généralement pas imposables, une spécificité favorable du système suisse
  • Imposition des revenus du capital : Les dividendes, intérêts et distributions de fonds sont soumis à l'impôt sur le revenu (taux marginal variant selon les cantons) et à l'impôt anticipé de 35% (récupérable pour les résidents suisses)
  • Impôt sur la fortune : La valeur des investissements est soumise à l'impôt cantonal sur la fortune (taux variant généralement entre 0,1% et 0,7% selon les cantons et le montant)

Ces principes généraux s'appliquent différemment selon qu'on opte pour une gestion active ou passive, avec plusieurs implications concrètes :

Pour la gestion passive (ETF et fonds indiciels) :

Les ETF de capitalisation (qui réinvestissent automatiquement les dividendes) constituent souvent un choix fiscalement optimal en Suisse. Ils permettent de transformer implicitement des revenus imposables (dividendes) en gains en capital non imposables. Cette caractéristique, connue sous le nom d'« effet de capitalisation », représente un avantage fiscal significatif pour les investisseurs suisses à hauts revenus dans les cantons à forte imposition.

Les ETF physiques domiciliés en Suisse ou dans des juridictions bénéficiant d'accords de double imposition favorables (comme l'Irlande) permettent également de réduire la retenue à la source sur les dividendes étrangers. À titre d'exemple, un ETF irlandais sur indice américain ne subit qu'une retenue à la source de 15% sur les dividendes américains, contre 30% pour un investissement direct.

Pour la gestion active :

Les fonds actifs génèrent souvent davantage de transactions, ce qui peut entraîner des distributions plus fréquentes soumises à l'impôt sur le revenu. Selon les statistiques de l'Administration fédérale des contributions, les fonds actifs distribuentt en moyenne 30% à 50% plus de revenus imposables que leurs homologues passifs sur des univers d'investissement comparables.

Par ailleurs, la rotation plus élevée du portefeuille dans les fonds actifs peut déclencher une requalification fiscale en « commerçant professionnel en titres » si certains critères sont remplis (fréquence des transactions, effet de levier, durée courte de détention). Cette requalification exceptionnelle rendrait alors les gains en capital imposables, neutralisant un avantage fiscal majeur du système suisse.

Aspect fiscal Gestion Passive (ETF) Gestion Active
Distributions imposables Généralement plus faibles, surtout avec ETF de capitalisation Généralement plus élevées et plus fréquentes
Risque de requalification fiscale Très faible Plus élevé si rotation importante du portefeuille
Optimisation fiscale internationale Souvent meilleure grâce à la domiciliation stratégique des ETF Variable selon la structure du fonds

Pour illustrer l'impact fiscal concret, prenons l'exemple d'un investisseur dans le canton de Zurich avec un taux marginal d'imposition de 40% :

  • Avec un ETF de capitalisation sur indice mondial : sur un rendement brut de 7%, composé de 2% de dividendes et 5% de gains en capital, seuls les 2% de dividendes (souvent capitalisés et non distribués avant la vente) seront imposés
  • Avec un fonds actif comparable : le même rendement brut pourrait générer 3,5% de distributions imposables et 3,5% de gains en capital, augmentant significativement la charge fiscale

Pour les investissements dans le cadre du 3e pilier 3a ou via une assurance-vie, les implications fiscales diffèrent puisque ces véhicules bénéficient de traitements fiscaux spécifiques. Notons que depuis quelques années, les solutions passives (notamment ETF) sont de plus en plus disponibles dans les produits de prévoyance suisses, offrant ainsi les avantages combinés de la fiscalité privilégiée du 3e pilier et des faibles coûts de la gestion passive.

L'Administration fédérale des contributions reconnaît cette dynamique, comme en témoigne sa circulaire n°36 mise à jour qui clarifie le traitement fiscal des différents types de fonds d'investissement, y compris les ETF et fonds indiciels, confirmant ainsi l'importance croissante de la gestion passive dans le paysage des investissements suisses.

Comportements et tendances des investisseurs suisses : une évolution marquée

L'attitude des investisseurs suisses face au choix entre gestion active et passive a considérablement évolué ces dernières années, révélant des tendances significatives qui reflètent à la fois des particularités culturelles helvétiques et des mutations globales dans l'approche de l'investissement.

Historiquement, la Suisse, en tant que place financière d'excellence reconnue pour sa tradition bancaire privée, a longtemps privilégié la gestion active. Cette préférence s'expliquait par plusieurs facteurs culturels et structurels propres au marché suisse :

  • Une tradition d'excellence dans la gestion de fortune personnalisée
  • Une clientèle fortunée habituée aux services sur mesure
  • Une confiance élevée dans l'expertise des institutions financières nationales
  • Un goût pour la discrétion associé à la gestion sur mesure plutôt qu'aux produits standardisés

Cependant, les études récentes montrent une évolution considérable de ces comportements. Selon les données de l'Association Suisse des Banquiers et de l'Institut Supérieur de Formation Bancaire (ISFB), la part des actifs gérés passivement en Suisse est passée de moins de 15% en 2010 à près de 35% en 2023, marquant une progression continue mais toujours inférieure aux 45-50% observés aux États-Unis.

Cette évolution s'explique par plusieurs facteurs déterminants :

  1. Démocratisation de l'investissement : Une nouvelle génération d'investisseurs suisses, plus jeunes et plus sensibles aux coûts, adopte massivement les ETF et autres instruments passifs comme porte d'entrée vers les marchés financiers. Les plateformes digitales suisses comme Swissquote, VIAC ou Selma Finance ont considérablement facilité l'accès à ces produits.
  2. Transparence accrue : Les réformes réglementaires, notamment la LSFin (Loi sur les services financiers) entrée en vigueur en 2020, ont imposé une plus grande transparence sur les frais, mettant en lumière l'avantage comparatif des solutions passives.
  3. Conversion des institutionnels : Les caisses de pension suisses (2e pilier), qui gèrent collectivement plus de 1'000 milliards de francs, ont progressivement augmenté leur allocation en instruments passifs, créant un effet d'entraînement sur le marché.

Les enquêtes comportementales révèlent également l'émergence d'une approche hybride comme nouveau paradigme dominant. Selon une étude de l'Université de Saint-Gall réalisée en 2022 auprès de 1'200 investisseurs suisses :

  • 62% des investisseurs suisses adoptent désormais une stratégie combinant un cœur passif (typiquement 60-70% du portefeuille) composé d'ETF diversifiés mondiaux à faibles coûts
  • Complété par des satellites actifs (30-40%) ciblant des thématiques spécifiques, des secteurs de niche ou des classes d'actifs où la gestion active conserve un avantage perçu (small caps, marchés émergents, obligations d'entreprises)

Cette approche hybride est particulièrement prononcée chez les investisseurs suisses de la génération X (40-55 ans), qui combinent une sensibilité aux coûts avec la recherche d'opportunités de surperformance ciblée.

Segment d'investisseurs Préférence pour
gestion passive
Approche
hybride
Préférence pour
gestion active
Millennials/Gen Z (18-39 ans) 57% 36% 7%
Génération X (40-55 ans) 29% 62% 9%
Baby Boomers (56+ ans) 18% 42% 40%

L'organisation SwissBanking note également que le comportement des investisseurs suisses face aux crises est révélateur des perceptions relatives aux deux approches. Pendant la turbulence du COVID-19 (2020) et l'inflation post-pandémique (2022) :

  • Les détenteurs de portefeuilles passifs ont généralement maintenu leurs positions malgré la volatilité, démontrant une meilleure discipline d'investissement
  • Les utilisateurs exclusifs de solutions actives ont manifesté une tendance plus marquée au market timing (tentatives d'entrée/sortie tactiques du marché), souvent au détriment de leurs performances à long terme

Enfin, une particularité suisse demeure dans l'attachement aux solutions domestiques. Les ETF sur indices suisses (SMI, SPI) et les fonds actifs spécialisés sur le marché helvétique continuent de bénéficier d'une préférence nationale, reflétant la confiance dans l'économie locale et la volonté de maintenir une exposition significative au franc suisse comme monnaie refuge.

Optimiser sa stratégie d'investissement en Suisse : vers une approche intégrée

Face à la complexité du choix entre gestion active et passive, les investisseurs suisses peuvent bénéficier d'une approche structurée et personnalisée, intégrant les spécificités du marché helvétique. Voici comment élaborer une stratégie d'investissement optimale en fonction de votre situation personnelle, de vos objectifs et du contexte actuel.

La première étape consiste à évaluer objectivement votre profil d'investisseur, qui déterminera l'équilibre approprié entre approches active et passive. Cette évaluation doit considérer :

  • Votre horizon temporel d'investissement : plus il est long, plus la gestion passive devient statistiquement avantageuse
  • Votre tolérance au risque : la capacité émotionnelle et financière à supporter les fluctuations de marché
  • Vos connaissances financières : la familiarité avec les différents instruments et leur fonctionnement
  • Vos convictions personnelles : certains investisseurs valorisent les aspects ESG ou l'investissement dans l'économie locale
  • Le montant à investir : les solutions passives offrent une diversification efficace même avec des montants modestes

Dans le contexte spécifique du marché suisse, une stratégie largement reconnue comme efficace consiste à adopter une approche core-satellite, combinant judicieusement gestion passive et active. Cette approche peut être structurée comme suit :

Le cœur du portefeuille (60-80%) : Alloué principalement à des instruments passifs à faibles coûts

  • ETF sur indices mondiaux diversifiés (MSCI World, FTSE All-World)
  • ETF sur grandes capitalisations suisses (SPI, SMI) pour maintenir une exposition au franc suisse
  • ETF obligataires sur obligations gouvernementales et d'entreprises de qualité

Cette partie du portefeuille vise à capturer efficacement les primes de risque des principaux marchés avec un minimum de frais. Pour un investisseur suisse, les ETF domiciliés en Suisse ou en Irlande offrent généralement les avantages fiscaux optimaux.

Les satellites (20-40%) : Dédiés à la recherche de surperformance ou à la personnalisation

  • Fonds actifs dans des segments où l'inefficience crée des opportunités (small caps suisses, marchés émergents)
  • Investissements thématiques alignés avec les mégatendances (transition énergétique, digitalisation, vieillissement démographique)
  • Placements immobiliers suisses, qui bénéficient d'un traitement fiscal avantageux
  • Éventuellement, positions directes sur quelques actions suisses de qualité pour un investisseur averti
Segment de marché Approche recommandée Justification
Actions grandes capitalisations (CH/Monde) Passive Marchés efficients, difficulté à surperformer, frais réduits
Petites capitalisations suisses Active Marché moins efficient, opportunités d'analyse fondamentale
Obligations investment grade Passive Rendements prévisibles, frais critiques pour performance nette
Obligations high yield Active Analyse crédit importante, gestion du risque de défaut
Immobilier suisse Mixte ETF pour exposition générale, fonds actifs pour niches

Pour optimiser l'efficacité fiscale de cette stratégie en Suisse, considérez ces principes :

  1. Privilégiez les ETF de capitalisation plutôt que de distribution pour les positions hors comptes fiscalement avantageux
  2. Utilisez pleinement les enveloppes fiscalement avantageuses (3e pilier, assurance-vie) en y plaçant prioritairement les instruments générant des revenus imposables
  3. Considérez la localisation optimale des actifs (asset location) : placements générant des revenus dans les structures fiscalement privilégiées, investissements axés sur les gains en capital dans les comptes ordinaires

L'implémentation pratique de cette stratégie peut s'effectuer via différents canaux adaptés au marché suisse :

  • Plateformes d'investissement digital suisses (Swissquote, VIAC, Selma) pour l'accès direct aux ETF à moindres frais
  • Banques traditionnelles proposant des mandats de gestion hybrides avec une tarification transparente
  • Robo-advisors suisses qui construisent et rééquilibrent automatiquement des portefeuilles core-satellite

Enfin, le suivi et l'ajustement de la stratégie représentent des étapes cruciales. Un rééquilibrage annuel du portefeuille permet de maintenir l'allocation stratégique et de profiter des mouvements de marché. Pour les composantes actives, une évaluation régulière de la pertinence des fonds choisis (performance ajustée du risque, stabilité de l'équipe de gestion, cohérence de l'approche) est recommandée, avec une perspective à moyen terme (3-5 ans) plutôt que réactive aux performances à court terme.

En conclusion, le débat entre gestion active et passive en Suisse évolue vers une reconnaissance de leur complémentarité plutôt que leur opposition. La stratégie optimale intègre généralement les deux approches, en les appliquant aux segments de marché où chacune exprime ses avantages comparatifs, tout en tenant compte des spécificités fiscales et réglementaires du contexte helvétique.

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